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salut a tous! voila je vous rapporte un texte d'un autre forum pour vous en faire profiter.
Nombre de jeunes gens pourvus de motocyclettes hésitent encore trop souvent à franchir le cap initiatique de ladoubement aqueux. Face à cet attristant constat, nous nous devions dintervenir afin que les sensations uniques et les souvenirs impérissables que le pilotage sous la pluie offre soient désormais connus de tous.
Frères secs que la porosité intimide, nayez pas peur, ce modeste ouvrage est là pour calmer toutes vos angoisses. Certes il existera toujours des esprits chagrins qui vous opposerons un discours aussi serré que : « La pluie cest nul, pas glop, hyper bad, méga naze, etc. ». Ce genre dargutie mérite évidemment dêtre nuancé : ne dit-on pas « Mariage pluvieux, mariage heureux. » ? (Dailleurs la pratique de la moto nest-elle pas une sorte de mariage centaurien où le motard épouse la machine ?) Ce dicton issu de lancestrale sagesse populaire ne peut assurément être réfuté en bloc. Comme dirait ma tante Suzette (qui, pour son malheur, déteste les crêpes) : « Y a du bon et du mauvais partout ». La pluie ne provoque ni insolation, ni fâcheux coup de soleil ; la pluie permet une hydratation bienvenue, rafraîchissante et réparatrice. Allez donc demander au Touareg ce quil préfère du soleil ou de la pluie
Ce petit préambule effectué, procédons méthodiquement à lexamen de situations concrètes.
Situation 1 : Il est Lundi, 6h00, le réveil est difficile. Méditatif ou bouffi de sommeil, tu regardes dun air vide ta tasse à café pleine en écoutant la météo annoncer un temps incertain sur ta région. Une fois douché et habillé, tu scrutes le ciel : effectivement y a pas plus incertain
Cest à ce moment là que survient la grande hésitation, lessentiel pari du motard : Pluie or not pluie ?
La frime peut en prendre un coup dans les deux cas : si tarrives trempé dans ton jean et ptit blouson certifié kéké ou si tarrives sec dans ta combi pluie bibendumienne. Rien de pire que le temps incertain un matin de boulot.
Et puis tu songes à la nouvelle secrétaire dans sa jupette affolante et tu nhésites plus un instant : Kéké powaaaaaaaaa !!! Kéké mais pas trop tout de même. Attention, il ne faut pas que la frime soit ostensible. Du feutré, du subtil. Tu optes pour un cuir noir, sobre et de bon ton, jean, petites baskets en daim la grande classe en douceur. Tu es tout de même embêté avec ton casque Rossi total fluo « made in aérographe dans le garage ». Et puis, à la rigueur, tu te dis que ça passera soit pour de lexcentrisme amusant, soit pour une brise de jeunesse encore palpitante sous ce torse dhomme expérimenté bref, que du bon.
Lorsque, tout fier de toi, tu enfourches ta moto, le temps est passé du stade « franchement incertain » au stade « hyper menaçant ». Tu le sais, tu le vois, mais tu te dis que ça devrait passer. Dans une demi-heure tu pourras épater ta jolie collègue devant la machine à café. Tu roules depuis dix minutes quand les premières gouttes viennent sécraser sur ta visière. Avant davoir pu pousser un soupir, la pluie, sabat sur toi tel un conseiller municipal sur un plateau de petits fours. Clignotant. Béquillage en catastrophe sur un morceau de bas côté. Tu as toujours un vieux pantalon de pluie sous ta selle. Tes cuisses et tes genoux sont déjà trempés mais tu peux encore sauver tes chaussettes et ton caleçon. Comme toujours dans ces moments là, ta clé tombe deux fois par terre ou ripe sur la serrure en te faisant un beau sillon dans la peinture. Tu parviens enfin à ouvrir ta selle, tu attrapes le pantalon de pluie et tentes de lenfiler. Ton pied droit se coince à la sortie de la jambe et tu te mets à sautiller pour tenter de conserver ton équilibre tout en forçant le passage à grands coups de talon rageurs. Enfin, lélastique craque et ta chaussure retrouve le plancher des vaches (normandes ou vosgiennes voire écossaises).
Durant cet exercice périlleux différents phénomènes se sont produits :
1. Tu as sué à fond, ce qui fait que tu te retrouves trempé à lextérieur comme à lintérieur. Tu te consoles néanmoins en te disant quau moins, à lintérieur, cest mouillé chaud.
2. Tu as senti les rires des automobilistes (et du motard qui na même pas ralenti, merci à lui) qui tont dépassé. Il te semble même que lun deux tas crié : « On tavait dit que le temps serait incertain ! ». Tu pries dailleurs très fort pour que ta jeune collègue nait pas été parmi eux. Si cest le cas tu pries encore plus fort pour quelle ne taie pas reconnu. (Mais, visiblement, les dieux sont contre toi aujourdhui.)
3. Tu tétais arrêté juste devant une flaque en formation et chaque voiture ta balancé une belle éclaboussure. Ce qui fait que tu te retrouves trempé dune jambe et à moitié humide de lautre. Ton caleçon et tes chaussettes baignent, côté droit, dans le moite, et, côté gauche, dans le glacé.
4. La béquille de ta bécane sest petit à petit enfoncée dans la terre devenant de plus en plus molle sous leffet de la pluie
avant de seffondrer dans la boue. Tu la ramasses comme tu peux et en profites pour te faire un beau tour de rein et un maculage en règle du blouson.
Tu commences à sacrément le regretter ton petit coup de frime. Mais, encore optimiste, tu te dis que, passant la journée derrière un bureau, cela ne se verra pas trop. Tu enfiles la jambe gauche qui traînait dans la boue et tu remontes sur ta bécane. Néanmoins tu te rends aussitôt compte dun autre phénomène inhérent au port du pantalon de pluie. Alors que, lorsque tu te tiens debout, ton pantalon de pluie te couvre de dessus la ceinture aux chevilles, dés que tu commences à tasseoir, il descend en haut et remonte en bas. Ce qui fait que tu te retrouves avec une couverture imperméable allant en réalité de la zone sub ceinturiale jusquau dessus du mollet avec un gros tire bouchonnage au niveau du genou. De plus lélastique de la cheville droite étant pété, celle-ci ne connaît pas le problème de sa congénère de gauche : lélastique du pantalon de pluie, en remontant, a embarqué avec lui le bas du jean, dévoilant ainsi le dessus du mollet et la partie haute de ta chaussette : la grande classe !
Tu redémarres en maugréant (comme tes du genre patient, tu nas pas encore atteint le stade où tu hurles sous ton casque tous les jurons que tu connais). Pendant cinq minutes tu te livres à une vaine gymnastique : tu tentes de faire redescendre le tire bouchonnage de ton genou gauche afin de couvrir ton mollet qui commence à virer au bleu.
Tu finis par renoncer pour différentes raisons :
1. Cela fait trois fois que tu manques de te vautrer dans un virage à droite.
2. Les automobilistes, derrière toi, sont morts de rire.
3. Tu entends un bruit inquiétant à droite, une sorte de FLAPFLAPFLAPFLAP conjugué à une sensation glacée. La déchirure de lélastique de la cheville droite sest propagée tout le long du mollet. Tu es aussi trempé à bâbord quà tribord (si tu es un maniaque de la symétrie, te voilà rassuré). Tu remercie néanmoins les dieux (cest bien, tes pas rancunier) davoir placé ta chaîne de lautre côté : avec le pot que tu te trimballes aujourdhui, un bout de pantalon se serait certainement coincé dedans.
4. Tu commences à ressentir une morsure froide au niveau de labdomen : La pluie qui glisse le long du réservoir, mue par la poussée aérodynamique, vient finir sa course sur ton ventre, juste dans lespace entre ton blouson et ton pantalon de pluie. C'est-à-dire la zone allant de la braguette au bas nombril
Toujours la grande classe ! Là tu regrettes sincèrement limpasse sur loption bulle haute.
Les sept dernières minutes confinent au tragique. Tu as rarement vécu un trajet aussi pénible (à part ce fameux printemps où tu tes pris la grêle alors que tu roulais en T-shirt ; il y aussi eu le coup de la gastroentérite
) Le ciel se dégage enfin (il se donne sans doute le temps de recharger pour ton voyage retour) et les nuages sont chassés par un violent vent réfrigérant qui te plaque les vêtements sur la peau. Toi qui comptais (un peu illusoirement) sur ta chaleur corporelle pour conserver une moiteur à peu près supportable
Là tu te lâches franchement et tu hurles tout ce que tu peux sous ton casque en te promettant, à lavenir, dêtre solidaire des hommes et des femmes subissant le même sort que toi, les marins pêcheurs de la mer de Béring ou les gardes côtes des îles Féroé par exemple.
Total des courses quand tu arrives enfin au boulot :
* Tu nes sec que sur une bande latérale couvrant le sternum.
* Tu as un mollet cryogénisé.
* Ton jean est aussi rigide et froid quun huissier en cours de saisie.
* Tu boîtes méchamment.
* Tu es gelé comme rarement tu las été.
* Ta moto na jamais aussi bien porté son surnom de «tas de boue » quaujourdhui.
Quand tu te diriges vers la machine à café tu as lair dun cow-boy blessé, égaré sur les rives de la Baltique. En plus ton cuir pèse une tonne, tes gants ont déteint (mais les mains bleues te vont bien), ton portefeuille nest plus quun vieille serpillière délavée (dailleurs ton billet de 50 et ton permis sont foutus) et lintérieur de ton casque nest plus quune éponge froide quil te faudra réenfiler ce soir.
Evidemment tu te planques au fond de ton bureau pour ne surtout pas croiser ta jeune collègue, tu commandes une pizza pour ne pas te rendre à la cantine et tu consacres tes pauses toilette à passer tes sous-vêtements sous le sèche-mains automatique (qui, par chance, fonctionne).
Comme le dit ce vieux proverbe asiatique (ou scandinave, je ne sais plus) « A trop négliger les avertissements des cieux et des bulletins météo, on se retrouve vite dans la peau dun cormoran arthritique. »
Situation 2 : Il est Lundi, 6h00, le réveil est difficile. Méditatif ou bouffi de sommeil, tu regardes dun air vide ta tasse à café pleine en écoutant la météo annoncer un temps incertain sur ta région. Une fois douché et habillé, tu scrutes le ciel : effectivement y a pas plus incertain
Cest à ce moment là que survient la grande hésitation, lessentiel pari du motard : Pluie or not pluie ? La frime peut en prendre un coup dans les deux cas : si tarrives trempé dans ton jean et ptit blouson certifié kéké ou si tarrives sec dans ta combi pluie bibendumienne. Rien de pire que le temps incertain un matin de boulot.
Et puis tu songes à la nouvelle secrétaire dans sa jupette affolante et tu nhésites plus un instant : Prudence, prudence : combi pluie intégrale. Mieux vaut la jouer sérieux, le gars qui sera toujours un phare pour les secrétaires en détresse. Tu vas jouer à fond la carte de la maturité ou, plutôt, du baroudeur revenu de tout en mal damour sérieux. Sous la combi intégrale tu portes un jean noir de bonne coupe, une chemise italienne et petit veston « souris-taupe ». Tu jubiles, ça ne sannonce pas mal. Et sil ne pleut pas tu pourras toujours enlever ta combi discrètement sur le parking et la plier dans le top-case.
Lorsque, tout fier de toi, tu enfourches ta moto, le temps est passé du stade « franchement incertain » au stade « hyper menaçant ». Décidément tu ne regrettes pas ton choix. Au bout de dix minutes la pluie commence à tomber et passe immédiatement au stade « tempête ». Tu enroules tranquillement, dépassant en souplesse. Pas question de se planter aujourdhui. «Prudence, prudence. » est ta devise du jour.
Tout à coup, sur le bord de la route il te semble distinguer (entre la pluie et la buée sur la visière tu nen es pas sûr) une chose étrange : un motard (apparemment) est un train de danser frénétiquement sur une jambe autour de sa monture Crampes ? Folie ? Nerfs ? Un adepte des traditions sioux peut-être? Domptage de monture ou danse de la pluie ? Dans le deuxième cas cest gagné.
Quand tu arrives au boulot lorage sest apaisé et tu peux sans rougir ranger ta combi pluie dans le top-case. Tu retrouves la jeune secrétaire devant un gobelet de café et tu commences, avec une modestie très finement jouée, le récit de tes aventures. Tu renchéris à la cantine (la paella tinspire visiblement) et finis par obtenir un rencard pour le week-end en lui promettant une ballade sur ta bécane daventurier.
Moralité : En amour comme en moto, pour que tout se déroule sans accroc, mieux vaut sortir couvert.
Par le professeur Zingaro
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franchement pas mal lol !
j'ai un rêve tourner sur piste ...
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bonjour
Bravo pour le texte , c'est bien continue pour cette recherche
cela nous change des smileys a tout bout de champ
je me suis toujours demandé, comment le gars qui ne roule que par grand soleil et qui emmene sa petite amie, décide de partir en week end très loin et sur le retour , la tempête arrive avec des giboulées pendant 48 h
sa femme l'abandonne? ils ne retournent pas eux ? ils attendent la fin du déluge ?
Une fois j'avais oublié ma combinaison de pluie, je sortais du boulot, je portais un blouson en daim , la pluie commence a tomber, je me dis il faut rentrer, j'ai fait 25 km sous la pluie, je vous laisse deviner la suite
le daim avait déteint sur ma peau
superdidi1
L'expérience sert à mesurer le chemin parcouru
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C'est trop excellent ! ça sent le vécu !
C'est vrai que certains pantalons de pluie...héhéhé
Sousse sait tout sur tout mais surtout rien sur rien
Actuellement en Ninjette verte Kawasaki.
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oui sa on l'a tous eu, on part le matin grand soleil,e t le soir on rentre des trompes d'eaux...
j'ai un rêve tourner sur piste ...
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une fois, en une heure c'est passer du grand beau temps au gros orage
j'avais accompagné mon fils a un RdV, et vu le beau temps, a moto.
et plus le RdV se déroulait, plus je voyais le ciel s'assombrir et devenir menaçant...
on est arrivé trempé de chez trempé, a se déshabiller (entierement) dans le garage pour pas en foutre partout !
tout ceci est petit vu de la lune
* MZ RT 2002 Jaune *
euromotor des pros du sevice aux clients !
* et yam 125 RDLC *
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Bah voilà: j'ai eu mes minutes de rire aujourd'hui!
Pour reprendre les mots de Lauda: ça sent le vécu, surtout cette sensation froide au niveau de la ceintutre, quand bien qu'emmitoufflé correctement comme dans du cellophane, tu t'aperçois que l'eau ça passe partout: le cou, la ceinture, etc...
Dernière modification par ranxgerom (11-02-2008 20:28:23)
"Je travaille dans l'unique but de pouvoir subvenir à mes débauches ".
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Quel lyrisme, mais la fin est un peu trop idéaliste, je crois.
Ben moi, je ne le vis pas comme ça. Je pense que je suis trop petit pour prendre l'eau. Bien ramassé derrière mon saute-vent et les cuisses serrées, j'arrive presque sec et puis, j'ai un collant alors je retire mon pantalon (devant les élèves qui s'imaginent un instant que le maître a pêté les plombs), je le dispose derrière le dos de Kevin (c'est à dire sur le radiateur) et je fais la classe en collant, un joli collant Repetto hyper classe acheté à Excideuil à l'usine, et je quitte discrètement les chaussures sous mon bureau.
Quelques echauffements d'humeur plus tard dus aux divers cancres de la classe, je suis déjà sec.
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au fait Havoc tu t'occupe de quelle classe?
n'en déplaise a Sioupa-DayDay zi first, je fais gaffe a pas trop pourrir les pages avec des smileys... m'enfin si tu a des choses a me dire il ya la fonction MP très efficace :poing:
Dernière modification par kobhalt (11-02-2008 19:51:08)
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moi au lycée c'est un peu le même bordel quand y pleut ... quand on arrive dans la salle le cours à déja commencer que j'ai pas tiré mes sur -bottes encore ...
j'ai un rêve tourner sur piste ...
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kobhalt ma remarque n'était pas specialement contre toi, c'est juste que dans certaines rubriques les smileys
font oublier l'essentiel, la communication et l'information avec des mots.
superdidi1
L'expérience sert à mesurer le chemin parcouru
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au fait Havoc tu t'occupe de quelle classe?
J'ai des CE2 et des CM1. Les CE2 sont meilleurs que les CM1 (c'est pas un hasard, je me suis choisi les CM1) mais les CM1 sont plus gentils.
C'est sympa mais comme je ne suis dans cette école que depuis deux ans, c'est beaucoup de travail de préparation. Ca devrait se calmer l'année prochaine (mêmes livres, même niveau, même environnement, mêmes prépas globalement).
Y'a pas mal de trucs que j'essaye de mettre en place sur l'école mais qui je l'espère, tourneront les années suivantes, comme par exemple une progression vers le hockey sur roulettes en cycle III (on a une super cour avec un terrain en dur).
Les sorties sur Paris aussi, mais là c'est compliqué, et les rumeurs de terrorisme me refroidissent un peu.
Et nos crapahuts dans les marais, avec les jumelles, les petits oiseaux et les grenouilles...
On ramène des monstres dans la classe, comme Jean-Luc, l'année dernière :
[img align=C]http://bcelerie.club.fr/Temporaire/Jean-Luc.jpg[/img]
Jean-Luc mettait un temps fou à sortir de sa combinaison de plongée ! Pire que Tchingtchong !
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trop fort jean-luc ! mdr
j'ai un rêve tourner sur piste ...
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Les sorties sur Paris aussi, mais là c'est compliqué, et les rumeurs de terrorisme me refroidissent un peu.
Et nos crapahuts dans les marais, avec les jumelles, les petits oiseaux et les grenouilles...
pas ceux de Paris j'espere!
oui oui je sais.... :tusors:
tapez pas quoi....
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Non non, je ne suis plus à Paris. Mais on allait bien dans LE Marais, à cause de son patrimoine aechitectural et historique.
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oui et puis heureusement que c'était pour le patrimoine architectural ... lol ! je crois que les minots n'aurait pas bien compris sinon ...
j'ai un rêve tourner sur piste ...
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pour y avoir travailler, dans le marais (de paris), c'est vrai qu'il y a de tres beaux hotel particuliers...
tout ceci est petit vu de la lune
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* et yam 125 RDLC *
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Kob', c'est repris du Repaire non ?
J'ai bien rigolé en le lisant !
Et bravo à Havoc pour sa pédagogie, j'ai pas l'impression que l'instit' de ma fille lui ai présenté Jean-Luc...
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