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ça change des blagues sur les blonde
Un motard raconte à ses copains motards :
- Hier, j'ai fait la connaissance d'une superbe nana dans une boîte de nuit.
Les copains motards - Aaaah ! Et alors
- On boit un coup, je commence à l'embrasser...
Les copains motards - Aaaaaaah ! Et alors
- Je lui propose de la raccompagner chez elle, elle accepte, et on sort de la boîte...
Les copains motards - Aaaaaaaaaah ! Et alors
- Arrivés sur le parking, elle me dit : " Déshabille-moi ! " Les copains motards
- Aaaaaaaaaaaaaaaaargh ! Et alors ?
- Alors j'enlève sa culotte, je la soulève, je l'assois sur la selle de ma nouvelle moto et....
Les copains motards:
- T'as une nouvelle moto ???!!! C'est quoi comme bécane ?????
-------------------------------------------------------------------------------------
quoique :hm:
Une blonde raconte à ses copines blondes :
- Hier, j'ai fait la connaissance d'un superbe motard dans une boîte de nuit...
Les copines blondes - Aaaah ! Et alors
- On boit un coup, je commence à l'embrasser...
Les copines blondes - Aaaaaaah ! Et alors
- Il me propose de me raccompagner chez moi, j'accepte, et on sort de la boîte...
Les copines blondes - Aaaaaaaaaah ! Et alors
- Arrivés sur le parking, je lui dit : " Déshabille-moi ! "... Les copines blondes: - Aaaaaaaaaaaaaaaaah ! Et alors ?
- Alors, il m'enlève ma culotte et .
Les copines blondes:
- T'as une culotte ???!!!
(trouvé le forum koreus )
Dernière modification par Benlod (04-08-2008 04:43:53)
2 stroke Powaa !
[Aprilia Sx50]
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Joli parralèlle...:)
Ce qui barre la route fait faire du chemin (Jean de La Bruyère)
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MZ 125 SM BLEU
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aaah des lève-tot !
moi jvai allez me coucher >>
sinon une autres barre de rires que j'ai trouvé via bashfr et alt-tab
http://je-suis-gothique.skyrock.com/810 … tel-D.html
ahh mon avis c'est un fake , sinon c'est dur pour elle (faut regarder plusieurs articles)
voili voilou bonne nuit :beuz:
Dernière modification par Benlod (04-08-2008 07:31:41)
2 stroke Powaa !
[Aprilia Sx50]
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Ah oui sacré fake, les commentaires sont fabuleux!
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Elle devrait arrêter d'écrire et s'acheter une moto.
j'ai été obligé d'arrêter la moto ces temps si alors je me suis mise à écrire :
Le plaisir dune représentation plein air
Lors dune belle nuit dété, un couple décida daller voir une pièce théâtrale mondaine. Muni de leur billet dentrée, il chercha du regard les inscriptions soigneusement notées au dos des chaises. Une file de personne occupait déjà les places avoisinantes. Par chance, leur numéro désignait les emplacements du bout de rangée.
Il sassied. Le spectacle débuta.
A la moitié de la représentation, lhomme eu envie de fumer. Il pris une de ces bonnes cigarettes et lalluma. Regarder un spectacle tout en absorbant de la fumer. Tel était son plaisir. Quel délice de pouvoir enfin assouvir son envie dans un théâtre plein air.
Cest que les meurs avaient bien changé depuis sa jeunesse.
De nouvelles lois étaient apparues dans le pays. Sous prétexte que le tabagisme était mauvais pour la santé et quil revenait chers de soigner ces malades, létat avait décidé dinterdire la consommation de cigarette dans tous lieu publique fermé. On avait plus le droit de fumer sur les lieux de travail, dans les cinémas, les restaurants, les bars etc.
Lhiver était devenu pénible. On avait même plus envie de sortir de chez soi.
Que restait-il du plaisir conviviale dun repas entre amis ; quand à tout bout de champ une convive se levait de table, quittant ainsi la conversation pour aller assouvir son besoin de fumer à lextérieur du restaurant par un froid glacial, pris sous une pluie battante ou mêlé de fortes bourrasques ?
Il nétait plus plaisant de ce trouver en ces conditions.
A la mauvaise saison, Monsieur ne voulait rien entendre concernant une soirée à lextérieur du domicile conjugale, tel un ours polaire qui hiberne.
Par contre, quand la saison devenait plus clémente, on voyait réapparaître les poils blancs de Monsieur.
La terrasse !
La terrasse était devenue le seul endroit convivial où il pouvait user de tous les plaisirs dune rencontre entre amis.
Cest pourquoi, Madame navait pas eu du mal à le convaincre daller au théâtre cette fois si.
Elle ne comprenait pas le plaisir tabagique, elle qui ny avait jamais pris goût.
Par contre elle aimait sortir avec son mari. Partager un de ces rares moments en couple quand les enfants étaient surveillés par une personne de confiance.
Cette nuit était particulièrement douce, sa joue collée contre lamoureux qui avait demandé sa main en mariage. Sa main dans la sienne. Un moment de tendresse précieux dans la vie dun couple.
Soudain, la femme assise du côté opposé de son bien heureux sexprima. Dun ton oppressant la femme demanda :
- Vous pourriez éteindre votre cigarette ?
Vexé, lhomme se leva brusquement et dit dune voix haute :
- Vient chérie ! On sen va !
Lhomme pris le chemin dune autre place où personne ne limportunerait, cigarette fumante à la main.
Lépouse marqua dun sourire son visage en jetant un regard complice à la femme odieuse.
Elle se baissa pour ramasser ces affaires dans le but daller rejoindre son époux.
En se relevant, elle dit dune voix claire, dun magnifique sourire aux lèvres en regardant la femme :
- Quel manque de savoir vivre !
La femme répondit :
- Vous avez raison, il ne manquerait plus quon ce laisse enfumer.
Lépouse répliqua en prenant un air songeur :
- Mais
cest de vous dont je parlais.
:beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz: :beuz:
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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Les règles n'entravent-elles pas notre liberté quand elle sont appliquées de manière irrespectueuse.
dans ce cas nous avons le droit de cracher sur n'importe qui et n'importe comment une lois à partir du moment ou l'on est dans son cadre. :aie: :aie: :aie:
Jusqu'à preuve du contraire on à encore le droit de fumer en plein air
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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ou est le non respect de la loi ?
Les lois ne sont-elles pas faites pour être enfreins ? :ilestfou: :cartonrouge: :tusors:
Dernière modification par l'indienne (04-08-2008 17:23:08)
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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dis donc l'Indienne, si tu te souviens, lorsque le casque est devenu obligatoire pour les moto (dans les années 70) on disait "atteinte à la liberté individuelle"; lorsque les ceintures de sécu sont devenue obligatoire "atteinte à la liberté individuelle" ,lorsque les casques sont devenu obligatoire pour les cycliste pro "atteinte à la ...." c'est aussi au nom de la liberté individuelle (et d'un qqcque article de la constitution) que tous les américains peuvent être armés et faire qq petit massacre entre gens de bonne famille dans les écoles et autres églises. La liberté individuelle ne peut être opposée à l'intérêt de la majorité. On ne ragarde que les "droits" que nous avons, mais quand ces droits sont ceux des autres alors on veut "cracher sur les lois". Refléchit et tu verras que ton raisonnement ne tiens pas. Le véritable savoir vivre, même en plein air c'etait que le monsieur demande autour de lui si cela ne gênait pas qu'il fumât, et le savoir vivre pour la demandeuse était, même si la fumée la gêne de dire "cela me gêne un peu mais je vous en pris nous sommes en plein air..."
Avant d'avoir "le droit de cracher sur des loi" nous avons "le devoir de faire des efforts " pour vivre en socièté
bikes friends & rock'roll !!! ça c'est la vie !!!
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quelle est la raison de rendre obligatoire le port du casque en moto ou autre. Personnellement si une personne n'a pas de casque j'estime que cela ne me concerne pas, par contre s'il est détenteur d'une arme la c'est un peu différant même s'il est autorisé par la loi pour l'activité de chasse.
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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Oui, mais c'est une politique de « Pilate ». Regarde la courbe de mortalité sur la route au moment de l'obligation du port de la ceinture. Celui qui a pris la décision a peut-être eu un comportement autoritaire mais il a sans que le doute soit permis, sauvé des centaines de milliers de vies.
Et maintenant, parlons de ceux qui veillent sur notre liberté:
Nous sommes toujours en 1929 et cette année-là, George Washington Hill, Président de lAmerican Tobacco Co. décide de sattaquer à ce tabou de lépoque qui interdisait à une femme de fumer en public, un tabou qui, théoriquement, faisait perdre à sa compagnie la moitié de ses profits.
Hill embauche donc Bernays, qui, de son côté, consulte aussitôt le psychanalyste Abraham Arden Brill (1874-1948), une des premières personnes à exercer cette profession aux Etats-Unis. Brill explique à Bernays que la cigarette est un symbole phallique représentant le pouvoir sexuel du mâle : sil était possible de lier la cigarette à une forme de contestation de ce pouvoir, assure Brill, alors les femmes, en possession de leurs propres pénis, fumeraient.
La ville de New York tient à chaque année, à Pâques, une célèbre et très courue parade. Lors de celle de 1929, un groupe de jeunes femmes avaient caché des cigarettes sous leurs vêtements et, dramatiquement, à un signal donné, elles les sortirent et les allumèrent devant les journalistes et les photographes qui avaient été prévenus quune action déclat allait être posé par des suffragettes. Dans les jours qui suivirent, lévénement était dans tous les journaux et sur toutes les lèvres.
Les jeunes femmes expliquèrent que ce quelles allumaient ainsi, cétait des «flambeaux de la liberté» («torches of freedom »). On devine sans mal qui a donné le signal de cet allumage collectif de cigarettes, qui a inventé ce slogan; comme on devine aussi quil sagit à chaque fois de la même personne et que cest encore elle qui avait alerté les médias.
Le symbolisme ainsi créé rendait hautement probable que toute personne qui adhère à la cause des suffragettes sera également, dans la controverse qui ne manquera pas de sensuivre sur la question du droit des femmes de fumer en public, du côté de ceux et de celles qui le défendent cette position étant justement celle que les cigarettiers souhaitent voir se répandre. Fumer étant devenu socialement acceptable pour les femmes, les ventes de cigarettes à cette nouvelle clientèle vont exploser.
(Extrait de : http://nbaillargeon.blogspot.com/2008/0 … n-du.html)
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tu ne fume pas havoc. Dans ce cas la nouvelle lois t'arrange et moi elle m'empêche de vivre libre
promis dès que je peux je refait de la moto.
Dernière modification par l'indienne (04-08-2008 22:40:11)
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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moi elle m'empêche de vivre libre
J'entends souvent cela mais sachant ce que je sais sur le tabac et les cigarettiers (voir par exemple l'article de Norman Baillargeon sur Bernays, le neveu de Freud, ci-dessus), j'ai beaucoup de mal avec le concept de « liberté de fumer ». Pour moi, étant donné qu'il est indéniable que la tabagie est une aliénation et qu'il n'est pas plus contestable qu'une aliénation ne peut être en même temps une liberté, je ne pense pas qu'on puisse parler de « liberté » en ce qui concerne l'acte de fumer, du moins de fumer compulsivement, ce qui est la pratique de 90% des fumeurs (à la louche, je connais une ou deux personnes qui fument de façon non-compulsive, c'est à dire moins de cinq prises par jour).
Il faudrait trouver un autre mot que liberté pour désigner cette possibilité de s'adonner à son addiction.
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De ton avis Havoc, les mots sont detournés de leur sens. Il n'y a pas de lien entre liberté et fumer. La liberté elle se trouve dans la pensée et dans le respect des autres. Confucius a dit "Celui qui mène les autres à la lueur de sa vertu est comme l'étoile polaire qui reste fixe dans le ciel et toutes les autres étoiles tournent autour" La liberté ne peut pas être individuelle uniquement. Si les autres t'empèchent d'être "libre" il faut se souvenir que pour ton voisin "les autres" c'est toi.
bikes friends & rock'roll !!! ça c'est la vie !!!
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dis donc l'Indienne, si tu te souviens, lorsque le casque est devenu obligatoire pour les moto (dans les années 70) on disait "atteinte à la liberté individuelle"; lorsque les ceintures de sécu sont devenue obligatoire "atteinte à la liberté individuelle" ,lorsque les casques sont devenu obligatoire pour les cycliste pro "atteinte à la ...." c'est aussi au nom de la liberté individuelle (et d'un qqcque article de la constitution) que tous les américains peuvent être armés et faire qq petit massacre entre gens de bonne famille dans les écoles et autres églises. La liberté individuelle ne peut être opposée à l'intérêt de la majorité. On ne ragarde que les "droits" que nous avons, mais quand ces droits sont ceux des autres alors on veut "cracher sur les lois". Refléchit et tu verras que ton raisonnement ne tiens pas. Le véritable savoir vivre, même en plein air c'etait que le monsieur demande autour de lui si cela ne gênait pas qu'il fumât, et le savoir vivre pour la demandeuse était, même si la fumée la gêne de dire "cela me gêne un peu mais je vous en pris nous sommes en plein air..."
Avant d'avoir "le droit de cracher sur des loi" nous avons "le devoir de faire des efforts " pour vivre en socièté
si un jour ils interdisent la pratique de la moto par ce qu'il est trop dangereux d'en faire et les blessés de la route reviennent trop chers c'est peut-être toi qui dira " atteinte à la liberté individuel ".
Pour de ce qui est de la gêne occasionnée par la fumé je peux le comprendre, mais la forme de son expression rigide est pour moi bien plus irrespectueuse que de ne pas demander si cela dérange quelqu'un,car aujourd'hui si tu demande, il y aura toujours une personne pour te répondre oui et pas seulement pour la fumer.
par suite de tous les processus de ségrégation dans l'éducation, dans le travail, dans la société, chaque personnalité se réduit à la moitié -et souvent moins- de son potentiel humain. Kate Millett.
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La pratique de la moto est déjà restreinte de la même façon que celle de la tabagie. On ne peut pas rouler n'importe où n'importe comment, c'est pareil pour ce qui est de fumer.
Comme le rappelle Béru, des choses sont interdites parce qu'on n'est pas tout seul sur Terre.
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Un peu d'huile sur le feu:
Pour moi qui suis fumeur, la nouvelle loi m'est apparue comme salvatrice. Enfin une contrainte qui pourra (éventuellement) me permettre de me *libérer* de mon aliénation ...
J'avoue, c'est un peu de la provoc
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