Vous n'êtes pas identifié(e).
Ils le seront probablement s'il y a trop de bruit autour de cette affaire. Mais ils ne seront pas sanctionné à cause de leur action mais bien parce qu'il faut des responsables. Une des caractéristiques des incompétents est aussi leur refus de toute responsabilité et le renvoi sur les subalternes.
Je reste sur la même ligne qu'exprimé plus haut. L'exemple vient d'en haut. Et non seulement l'exemple mais aussi la consigne.
bikes friends & rock'roll !!! ça c'est la vie !!!
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Le problème, c'est qu'en Haut, il n'a certainement jamais été dit et encore moins écrit "allez-y les p'tits gars, défoulez-vous, traitez ces mecs de gonzesses, etc...", ce qui laisse tout de même aux exécutants ainsi qu'à leurs responsables directs leur libre arbitre.
La place de la femme est au foyer (Landru)
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Il existe un mythe grec pour expliquer l'intérêt pour les élites d'accéder au plus vite aux plus hautes fonctions: c'est le mythe de l' Anneau de Gygès, celui qui rend invisible et permet d'agir sans avoir à subir les conséquences de ce que l'on fait, puisqu'il rend invisible. Le but de ce mythe est d'interroger le citoyen: « que ferais-tu si tu possédais l'anneau de Gygès ? Resterais-tu le même ? ».
Beaucoup de signes montrent que dans la France contemporaine, accéder à une fonction d'autorité est le plus sûr moyen d'obtenir tout ou partie des pouvoirs de l'anneau de Gygès, et de ne pas avoir de comptes à rendre. Pensez aux parachutes dorés, à l'im(p)unité présidentielle, au délit d'outrage, à la disparition des contre-pouvoirs, ainsi qu'à des phénomènes moins spectaculaires mais qui relèvent du même principe.
Evidemment, cela n'exclut pas de punir les sans-grade lorsqu'ils sont coupables, même s'ils partagent la responsabilité de leurs actes avec des gens qui, invisibles, ne seront jamais punis.
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l'im(p)unité présidentielle
Très fort !
Dans le genre "les sans-grade trinquent", là ce n'est plus le parachute doré qui prévaut mais le parapluie. Son avantage est que la prise de décision se dilue au fur et à mesure qu'elle descend vers les subalternes ; bon, ce n'est pas aussi érudit que l'Anneau de Gygès... (je le sortirai en société dès que possible, celui-là, ça impressionnera mes copines !).
La place de la femme est au foyer (Landru)
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Merci !
Il y a un bon symbole de ce que tu dis sur la chaîne de décision: 75% des lois votées par le parlement attendent toujours leurs décrets d'application, depuis l'élection de Sarkozy et la rentrée parlementaire qui a suivi.
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